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rassemblement national - Page 2

  • Feu sur la désinformation... (337)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      En allant voter pour les élections régionales et départementales, Jordan Bardella a émargé devant une femme voilée. Une image qui a créé la polémique.
    • 2 : Élections régionales : les Français veulent du changement !
      L’événement le plus commenté médiatiquement ces derniers jours, c’est bien entendu le résultat du vote aux élections régionales. Entre une abstention record et des déceptions pour le Rassemblement national, il y a effectivement beaucoup à dire...
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Europe 1 : un média peut-il être de droite ?
      Les journalistes d’Europe 1 sont vent debout contre ce qu’ils appellent la transformation de la station en « radio d’opinion ». Comprenez en « radio de droite ». Une opposition à un rapprochement avec CNews évidemment soutenue par de très nombreux journalistes d’autres antennes.

     

                                              

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  • Jérôme Rivière sonne le tocsin !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un recueil de chroniques de Jérôme Rivière intitulé Tocsin - Chroniques contre les liquidateurs de la France. Député européen, Jérôme Rivière est porte-parole à l’international du Rassemblement national et membre du bureau de la Fondation Identité et Démocratie.

     

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    " Depuis mon élection au Parlement européen sur la liste soutenue par Marine le Pen, je me suis efforcé de défendre les intérêts de ceux qu’on ne défend plus et qui ne veulent pas mourir, mes compatriotes.
    Ces chroniques en portent l’empreinte. Elles sont un hymne en faveur d’une Europe des nations et de la grandeur de la France. Une France, fière de son histoire, de son art de vivre et consciente de la dette qu’elle a vis-à-vis de ceux qui ont forgé notre pays. La civilisation française est ancienne, elle s’est bâtie en plusieurs siècles. Elle mérite qu’on la préserve.
    J’entends porter la voix d’un peuple qui veut continuer à vivre libre. "

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  • Marine Le Pen : virage à droite ?...

    Le numéro 41 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur un dossier consacré à Marine Le Pen et au Rassemblement national, conclu par un article juste et plein de bon sens de Pierre Robin, un entretien avec Vincent Coussedière, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

     

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  • Aucune convergence possible entre libéralisme et populisme !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Patrick Buisson au quotidien libéral L'Opinion et consacré à la question de l'avenir de la droite dans le contexte politique actuel. Politologue et historien, Patrick Buisson est l'auteur d'une étude historique, 1940-1945, années érotiques (Albin Michel, 2008), et d'un essai politique important, La cause du peuple (Perrin, 2016).

     

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    Patrick Buisson: «Il n’y a aucune convergence possible entre libéralisme et populisme»

    La stratégie d’union des droites peut-elle devenir réalité en 2022 ?

    Vouloir bâtir un projet d’alternance pour 2022 avec les outils conceptuels de la fin du siècle dernier témoigne à tout le moins d’une certaine paresse intellectuelle. Cela revient à occulter l’apparition des nouveaux clivages qui sont venus distordre l’axe de polarité droite-gauche, autour duquel tout semblait figé. A bien des égards, le clivage qui oppose libéraux et anti-libéraux, et qui passe désormais à l’intérieur de chaque camp, est aujourd’hui le plus pertinent. A gauche, il a pris forme avec le tournant de la rigueur impulsé par le tandem Mitterrand-Delors en 1983 et, par la suite, à travers la montée des thématiques sociétales de l’individualisme libertaire. De l’autre côté, le fait majeur tient à la renaissance d’une droite anti-libérale, hybride du légitimisme et du catholicisme social, que La Manif pour tous – ce que j’ai appelé le populisme chrétien – a su tirer d’un long coma historique. La crise des Gilets jaunes n’a fait que souligner l’acuité du clivage entre cette droite-là et la droite libérale. L’une privilégie les solidarités collectives, l’esprit communautaire, le localisme et l’enracinement. L’autre met l’accent sur les sociabilités contractuelles, l’émancipation des individus, la mobilité et les bienfaits de la globalisation.

    L’union entre Les Républicains et le Rassemblement national est donc un horizon obsolète ?

    L’union impliquerait à terme la formation d’un mélange homogène.Or la propriété des droites aujourd’hui, c’est précisément de ne pas être miscibles. Il y a des convergences possibles entre populisme et conservatisme, il n’y en a aucune entre libéralisme et populisme. En outre, la base électorale de ces droites est devenue chroniquement minoritaire, et par là même très insuffisante pour servir d’axe stratégique à une reconquête du pouvoir. En y faisant arbitrairement entrer la totalité de l’électorat RN, les droites n’ont recueilli, lors des dernières élections européennes, que 36% des suffrages. Au premier tour de la présidentielle de 1995, les droites de Balladur à Le Pen rassemblaient près de 60% des votants…

    Ce clivage entre libéraux et anti-libéraux recoupe-t-il l’opposition peuple-élite ?

    Si être libéral, c’est croire que la logique du contrat et celle du marché suffisent à faire vivre ensemble une société disparate, alors oui, il y a bien là une fracture profonde entre le bloc élitaire et le bloc populaire. En moins d’un demi-siècle, l’action conjuguée de l’Etat-providence et du marché a fait tomber les uns après les autres tous les murs porteurs de notre affectio societatis. Depuis le début des années 1960, les politiques publiques ont toutes, peu ou prou, œuvré à la promotion de l’individualisme aux dépens de ce qui contribuait à la formation du lien social. Elles n’ont plus fabriqué du vivre ensemble, mais du vivre côte-à-côte. Le mouvement des Gilets jaunes aura été une révolte contre cette vaste entreprise d’arasement des communautés naturelles et des anciens réseaux de sociabilités.En proclamant la supériorité normative du commun sur les intérêts privés, en cherchant à redéployer les solidarités perdues, il s’est inscrit dans la filiation des « Communes », ces grandes émotions populaires qui ont jalonné notre histoire.

    «Bellamy 2019 aura été le négatif absolu de Sarkozy 2007. Sa candidature a rendu visible le gentrification de la droite, et du même coup, la coupure irréversible entre cette droite-là et le peuple»

    Comment expliquez-vous l’effondrement de LR aux européennes ?

    Le choix de Bellamy ciblait l’électorat très participationniste des seniors et des inclus qui forment le grand parti de l’ordre. C’était oublier qu’en période de troubles, ce parti de la peur se regroupe instinctivement derrière le pouvoir en place, pourvu que celui-ci sache exercer sans trop mollir le monopole de la violence légitime. Pour le reste, Bellamy 2019 aura été le négatif absolu de Sarkozy 2007. Sa candidature a brusquement rendu visible l’achèvement du processus de gentrification de la droite, et du même coup, la coupure irréversible entre cette droite-là et le peuple. Plutôt qu’au «métro à six heures du soir» dont parlait Malraux, elle s’est identifiée aux héritiers des Versaillais.Galliffet plutôt que Gavroche.

    Est-ce la fin de cette droite que vous décrivez comme écartelée « entre un moi libéral et un surmoi conservateur » ?

    La contradiction permanente dans laquelle elle se débat, son incohérence idéologique ont été lourdement sanctionnées par les électeurs. On ne peut à la fois prôner le libre marché et combattre la PMA et la GPA. Sauf à se retrouver dans la situation ubuesque que décrivait Philippe Muray : le parti des conséquences portant plainte contre le parti des causes.

    Y-a-t-il une voie pour la droite entre progressisme et populisme ?

    Je ne suis pas d’accord avec Alain Finkielkraut qui enjoint à la droite de répudier conjointement l’économisme et le populisme. Le populisme exprime l’instinct de survie des peuples victimes d’une dérégulation et d’une relégation sans précédent. Il faut le civiliser, et non l’anathématiser. Et s’en tenir au précepte énoncé jadis par Aragon : « Quand les blés sont sous la grêle, fou qui fait le délicat ».

    Qui sera le candidat de la droite en 2022 ?

    Macron, sans aucun doute. Après avoir digéré la gauche post-sociale en 2017, il a naturellement vocation à absorber la droite post-nationale, celle qui rejette par principe tout accord avec le RN. On ne voit pas qui, sur le marché politique, pourrait porter une offre libérale plus cohérente et attractive.

    Macron peut-il être cette fois battu ?

    Ce n’est pas impossible, dans un contexte marqué par le retour de la question sociale et l’élargissement de la fracture ethno-culturelle. L’élection présidentielle reste le seul scrutin où les classes populaires et la classe moyenne inférieure fournissent une majorité de votants. Seule une candidature opérant la jonction entre ces deux catégories serait susceptible de l’emporter face à Macron.

    Comment expliquez-vous l’intérêt autour d’un possible retour de Marion Maréchal ?

    L’intérêt des médias n’est pas toujours le critère le plus pertinent.Le storytelling produit davantage d’images que de suffrages. Les cas de Simone Veil et de Michel Rocard, stars médiatiques répudiés par les électeurs, l’ont démontré. Le moment choisi par Marion Maréchal pour revenir dans le débat laisse perplexe. D’abord en raison de l’échec de Bellamy, qui a fait apparaître l’insigne faiblesse électorale de la ligne libérale et conservatrice dont elle se réclame également. Ensuite parce que Marine Le Pen a fait montre d’une résilience dont bien peu la croyaient capable après le débat raté de 2017, réduisant les marges de manœuvre de sa nièce. Enfin, parce que son offre d’union à LR – une OPA sur une coquille vide et une main tendue à des gens qui n’en veulent pas – va vite trouver ses limites.

    Patrick Buisson (L'Opinion, 31 juillet 2019)

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  • Européennes : l'impasse...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une analyse de Michel Drac consacrée aux résultats des élections européennes...

    Penseur non-conformiste, Michel Drac est l'auteur de plusieurs essais, dont  Triangulation - Repères pour des temps incertains (Le Retour aux Sources, 2015) ou, dernièrement, Voir Macron - 8 scénarios pour un quinquennat (Le Retour aux Sources, 2018).  Il est également le co-fondateur des éditions le Retour aux Sources, qui publient notamment Piero San Giorgio , Dmitry Orlov ou Howard Kunstler.

     

                                    

    Au sommaire :

    La République en Marche : 0:26

    Le Rassemblement National : 2:10

    Vers un jeu de comparses : 5:49

    Les Verts : 6:32

    Les Républicains : 8:13

    Que va devenir la droite Scrogneugneu ? : 10:22

    Le reste : 10:59

    Le fond du problème : 13:09

    Message à MM. Vauclin et Philippot : 15:15

     

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  • Feu sur la désinformation... (236)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Défaite électorale, victoire médiatique
      Macron avait fait des élections européennes un référendum sur sa personne. Et malgré la défaite face au RN, il s’accroche… avec le soutien des médias !
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Charlotte d’Ornellas se fait insulter sur une radio du service public consacrée aux musiques urbaines. Pendant ce temps, Patrick Cohen a – comme à son habitude – tenté de déstabiliser Jordan Bardella, sans succès.
    • 3: Attentat à Lyon : les médias voient flou !
      Sur un sujet complexe et douloureux, les médias ont été plus mesurés que d’habitude. Enfin presque !
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Un clandestin algérien islamiste radical a commis un attentat en plein Lyon. Entre photo floue et arrestation tardive, des éléments interrogent !
    • 5 : Européennes. Vague verte ou identitaire ?
      Les médias français ont finalement peu parlé des résultats internationaux de ces élections européennes. Sauf pour vanter une vague verte largement exagérée.

     

                                        

     

     

     

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